END. et Dickies s’unissent pour dévoiler une collection capsule de 7 pièces baptisée « Stock Market ». Offrant une réflexion ludique sur l’opulence et le matérialisme flagrant qui prévalaient dans les années 1980, la collection met en lumière l’arrogance qui était si souvent associée au métier d’agent de change. Une époque synonyme de désir d’aisance et de statut, les années 1980 ont cultivé une vision ambitieuse de la vie, largement alimentée par une augmentation des progrès technologiques et une importance croissante de la compétition sociale. C’est cette idée de richesse et de matérialisme débridés qui a inspiré cette première collaboration entre END. et Dickies, avec une série de graphiques irrévérencieux conçus pour se moquer gentiment de la culture « Yuppie » (acronyme Young Urban Professional, terme anglophone définissant les jeunes cadres et entrepreneurs de haut niveau, évoluant dans les milieux du commerce international et de la haute finance, et habitant le cœur de grandes métropoles). Évoquant le rythme effréné de la vie et le statut associé à cette époque, la collection est détaillée avec des graphiques de type carte de visite, des chèques co-brandés et des images de téléscripteur d’actions. La pièce la plus audacieuse – une version retravaillée de la fameuse chemise Garage de Dickies – est entièrement recouverte de faux billets de 100 dollars, à l’exception des poches de poitrine et du col contrastés, avec le fer à cheval emblématique du label américain travaillé au milieu de chaque billet. La veste Eisenhower et le pantalon de travail 874 de Dickies reflètent l’approche ironique de la capsule, en conservant leur construction habituelle en polycoton résistant, les deux pièces de l’ensemble sont ornés du slogan « Don’t Be a Dickies » dans un effet contrasté à rayures. La collection END. x Dickies « Stock Market » est disponible via la boutique en-ligne de END.

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