Nouvelle montre MeisterSinger Astroscope
By viacomit, in Style. jeudi 23 avril 2020
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La marque horlogère allemande MeisterSinger ne cesse de surprendre depuis sa création en 2001. C’est encore le cas aujourd’hui avec le lancement de l’Astroscope. Innovant, ce nouveau garde-temps affiche les jours de la semaine en corrélation avec les corps célestes qui leur ont été attribués depuis les temps anciens. S’informer du jour devient, dès lors, tout aussi plaisant que de lire l’heure avec une seule aiguille. Le Soleil et la Lune distinguent le jour de la nuit et divisent notre temps en douze mois de l’année. Par contre, la séparation en semaines de sept jours ne suit aucun rythme astronomique particulier. Elle est plutôt de nature mythologique. La méthode remonte très probablement aux Babyloniens qui, comme de nombreux autres peuples, considéraient le nombre sept comme particulièrement sacré et lié à sept corps célestes, à savoir : le Soleil, la Lune, Mars, Mercure, Jupiter, Vénus et Saturne. A l’image de presque toutes les planètes tirant leurs noms des dieux romains, la plupart des jours de la semaine en allemand et en anglais sont issus de la mythologie nordique. Tout au long de l’histoire, l’attribution des jours de la semaine aux corps célestes a subi l’épreuve du temps. Indiquant les corps célestes par leurs symboles classiques, l’Astroscope montre les jours de la semaine non pas de façon linéaire ou radiale, mais errant d’avant en arrière, stylisant une constellation rare qui ne se produit que tous les dix à douze ans dans le ciel nocturne sud de l’hémisphère nord. De nouveau en juillet 2020, à l’exception du Soleil bien sûr, tous les corps célestes des jours de semaine y seront visibles en même temps. Evoluant d’un positionnement à l’autre selon le jour, un point lumineux bien lisible apparaît le lundi vers 12 heures sous le symbole de la Lune et le lendemain à gauche sous le symbole de Mars. Mercredi, il se situe à côté de Mercure vers 9 heures, le jeudi à côté de Jupiter à 3 heures, etc …Facile à comprendre et très ludique. L’Astroscope ne saute pas d’avant en arrière. Sous le cadran, un grand disque, paré d’un certain nombre de points brillants positionnés intelligemment, se décale du jour au lendemain, se déplaçant toujours en cercle, tout comme dans le monde de la mécanique céleste. Présentant un diamètre de 40 mm, l’Astroscope arbore un boîtier en acier inoxydable, équipé d’une lunette extra fine pour céder toute sa place au cadran. Représentant le ciel nocturne par son fond sombre – décliné en noir et bleu acier selon le modèle – il offre, par contraste, une parfaite visibilité des chiffres et des symboles astronomiques apparaissant en bleu ou « Old Radium ». Au-dessus du guichet de date circulaire et du logo MeisterSinger, un semblant d’horizon donne l’impression de regarder la voûte céleste. Magique. Montée sur un bracelet en cuir vintage de couleur cognac ou marron foncé, l’Astroscope est animée par un mouvement mécanique à remontage automatique de facture suisse (Sellita), se laissant admirer par le fond de boîtier transparent. Disponible dès maintenant online, cette nouvelle pièce horlogère MeisterSinger est livrée avec une brochure détaillant l’origine historique de l’Astroscope tout en expliquant son mécanisme du point d’errance de la journée. Une bonne idée qui permettra aux passionnés d’horlogerie comme aux amateurs d’astronomie de partager les mystères de cette montre.
MeisterSingerMeisterSinger Astroscope