Au programme : un vestiaire hybride qui mixe streetwear et influences caribéennes. Les silhouettes se nourrissent autant du sportswear que des pochettes de vinyles vintage et des clubs improvisés. Les pièces jouent avec les contrastes, entre coupes utilitaires, fits décontractés et détails artisanaux rappelant les flyers de soundclash et le matériel de studio. On y retrouve des tricots patchwork, des hoodies en dégradé et des imprimés graphiques inspirés de l’esthétique reggae.
La campagne met en avant Ronald “Uncle Ronnie” Jarrett, figure historique de la culture sound system en Jamaïque. Les visuels oscillent entre clichés documentaires et portraits intimistes, comme un hommage vibrant aux racines de cette scène.
Parmi les pièces phares : le Club Cracked Leather Varsity Jacket et ses patchs texturés, le Script Nylon Check Puffer Jacket en tartan revisité, ou encore les ensembles denim Diamonds & Dollars, twist audacieux entre workwear et imprimés ludiques.
Avec cette collection, Billionaire Boys Club continue de brouiller les frontières entre héritage culturel et streetwear contemporain, et rappelle que le style, tout comme la musique, est avant tout une affaire de vibration collective.
Billionaire Boys Club