Inspirée d’un Japon pop et décalé, la collection déborde de prints all-over, de créatures folkloriques appelées yōkai, et d’une esthétique visuelle qui évoque les publicités des années 70. Chemises, t-shirts, sweats… et même un bol de ramen s’invitent au menu. Mais attention, ici, la mode ne se contente pas de flatter le regard : elle raconte une histoire glitchée, où l’intelligence artificielle vient dérégler les traditions.
C’est à travers l’IA qu’EDWIN réinvente l’imagerie japonaise. Poses étranges, visages flous, monstres aux allures douteuses : le résultat est volontairement imparfait, drôle et un brin irrévérencieux. Une esthétique résolument post-moderne, où folklore et technologie fusionnent dans un style aussi déroutant que désirable.
Cette collection est accompagnée d’un récit visuel intitulé Yōkai Diaries, une série en trois épisodes où les fameux monstres tentent (et échouent) de suivre les préceptes du Hara Hachi Bun Me. Acte 1 – L’attaque du buffet : les yōkai se ruent sur la nourriture, sans retenue ni patience. Les ombres dansent, les estomacs débordent. La modération ? Absente. Acte 2 – Dérive culinaire : entre bouchées volées et gorgées trop rapides, les monstres vacillent entre discipline et folie douce. Un festin infini, à la frontière du rêve et de l’indigestion. Acte 3 – La chute : plus aucun contrôle. Les créatures sombrent dans une coma foodique total. Visages écrasés sur la table, assiettes vides, appétit sans fin.
Avec Hara Hachi Bun Me, EDWIN ne lance pas qu’un vestiaire : il propose une expérience immersive où se mêlent art visuel, critique culturelle et esthétique rétro-tech. C’est une collection à vivre autant qu’à porter, où l’excès devient langage, où l’humour flirte avec le surréalisme. Disponible dès maintenant dans les boutiques EDWIN, online et chez une sélection de revendeurs de la marque.
Edwin