Grâce à la marque Coton Doux, vous allez pouvoir découvrir deux œuvres de Jean Bedez présentées au 16 au 28 Avril au rez de chaussée des Galeries Lafayettes Homme, à Paris. Jean Bedez est un artiste reconnue par les plus grandes foires d’art européennes depuis de nombreuses années déjà. Coton Doux a décidé de soutenir la création contemporaine, dans cette lancée, ils mettent à la portée de tous deux œuvres caractéristiques du travail de l’artiste. D’abord une Ferrari blanche, qui constitue le point d’orgue de l’installation « game over ». Cette reproduction de la voiture conduite par Michael Shumacher et Rubens Barrichello aux championnats du monde de 2005, est dépourvue de sa couleur rouge si reconnaissable. En blanc, toute la perfection technique et plastique de la voiture est mise en valeur. Juste derrière, on pourra découvrir six sacs de polyester remplis de béton. Estampés « ambition », ils semblent être des bagages bien étranges, et bien lourds à porter.
Thanks to Coton Doux, you will be able to come and see two works of art by Jean Bedez, presented on the ground floor of Galeries Lafayettes Homme in Paris. From the 16th to the 28th of April, a white Ferrari and six bags will be shown. The art of Jean Bedez has been exhibited in Europe for several years now. The brand Coton Doux has made a great priority of supporting contemporary creation, with this exhbition they are making a great point, and offering a chance for anyone to discover the best of what is today created. First, a white Ferrari will be displayed : the installation called « game over » is all about the reproduction of the original car droven by Michaek Shumasher and Rubens Barrichello at the world championship in 2005. Jean Bedez volontarily cut off the traditional red and replace it by a bright white. Simple and nude, the car looks perfect. The presentation is raw, so far from the usual vision of this luxury brand. Then, “ambition” is the message of the second works of art : six polyester bags full of concrete, strange luggages to get traveling.
